Mardi 23 mars, la Cour de Cassation a rendu un arrêt rejetant le pourvoi formé par les proches de Rémi Fraisse suite au non-lieu, formulé par la Cour d’appel de Toulouse en janvier 2020, blanchissant le gendarme auteur du tir de grenade mortel à Sivens le 26 octobre 2014.
Rémi Fraisse, militant écologiste de 21 ans, avait été tué lors d’une intervention de gendarmes mobiles contre la ZAD de Sivens, mise en place par les opposantEs à un projet de barrage destructeur pour l’environnement. (…)

Bosch, la SAM, la maison du peuple occupée à Millau, les postiers à Decazeville : une vraie résistance se développe en Aveyron !
« Bosch fossoyeur d’emplois, l’État responsable ». Vendredi 19 mars, la manifestation de 800 salariéEs, a été la première riposte intersyndicale chez Bosch après l’annonce de la suppression de 750 emplois. Une colère qui monte. Et la ministre de l’industrie présente à Rodez pour une énième table ronde a été directement prise à partie par les manifestantEs, huée (…)

Depuis deux jours, l’Union nationale des étudiants de France (UNEF) est la cible d’une violente campagne menée conjointement par le gouvernement, la droite extrême et l’extrême droite. Il est reproché au syndicat d’avoir expliqué, par la voix de sa présidente Mélanie Luce le 17 mars, qu’elle organisait en son sein des réunions non-mixtes entre personnes racisées.
Depuis, c’est à une surenchère raciste et réactionnaire que l’on assiste : Éric Ciotti qualifie l’UNEF d’ « avant-garde de (…)

Nous entrons dans la dernière ligne droite avant les élections régionales 2021. En région « Occitanie », le NPA est en discussion avec la France Insoumise afin de construire une liste au programme anticapitaliste et écosocialiste. Un programme qui pourrait être en rupture radicale avec la majorité sortante en redonnant de la voix aux luttes sociales dans la région. L’enjeu est bien de reconstruire une représentation politique du monde du travail et de la jeunesse indépendante de celles et (…)

Communiqué du NPA 31
Après 2011, Latécoère, qui avait implanté deux usines Latélec près de Tunis pour bénéficier d’une main d’œuvre bon marché et d’exonérations d’impôt, avait dû céder aux revendications d’un syndicat combatif créé après le renversement du dictateur Ben Ali.
Mais très vite le syndicat fut démantelé par des licenciements. Un comité de soutien en France et en particulier à Toulouse s’était créé. Après une longue bagarre et d’une grève de la faim, une partie des licenciées (…)