Source : CGT
Les 1 000 délégués réunis en congrès à Marseille du 18 au 22 avril 2016 ont analysé la situation économique et sociale, le contexte des mobilisations désormais ancrées dans le pays depuis plus d’un mois et demi.
La CGT lance un appel fort et déterminé à l’ensemble des salariés du privé et du public, des jeunes, des privés d’emploi, des retraités et de ses syndicats, à poursuivre et amplifier partout le rapport de force jusqu’au retrait du projet de la loi dite « Travail » (…)
De nuit et de jour : travailleurs debout !
L’intervention de Hollande à la télé jeudi dernier a attiré peu de monde. Tout ce qu’il a dit du projet de loi Travail est qu’il le maintenait. Ceux qui n’ont pas assisté aux contorsions présidentielles n’ont donc pas raté grand-chose !
Les « Nuit Debout » se sont répandues dans tout le pays, maintenant la pression alors que la plupart des étudiants et des lycéens sont en vacances ou en période d’examens.
Les directions syndicales appellent à (…)
Mardi 19 avril, une centaine d’habitants du quartier des Minimes se sont rassemblés barrière de Paris et ont manifesté jusqu’au Conseil Départemental où commence à se structurer un campement pour exiger le rétablissement des aides pour le logement des jeunes isolés.
Le cortège de quartier était jeune et dynamique et a défilé derrière une banderole intitulée « Les Minimes contre la loi Travail ! » avec un très bon accueil des passants. Les slogans étaient les suivants :
« Grève générale (…)
Bilan du rassemblement devant le Conseil Départemental 31 du mardi 19 avril 2016.
Pour rappel les socialistes du conseil départemental (CD) Haute-Garonne ont fait adopté mardi dernier par le Conseil la fin du financement des hébergements hôteliers pour les femmes isolées accompagnées d’enfant de moins de 3 ans, pour les majeurs de plus de 19 ans et même pour les mineurs isolés, à partir du 2 mai. Un des prétextes étant qu’un plan pour ajouter 350 places d’hébergement à l’horizon 2020 (…)
Par Daniel Tanuro, publié par lcr-lagauche.org
Certains mythes ont la vie dure. Le mythe du bon Tsipras victime de la cruelle troïka est de ceux-là. Aux yeux de certains courants de gauche, en effet, le premier ministre grec peut mener une politique platement néolibérale, comme Hollande, mais sans perdre son aura de « gauche radicale ».
La liste des reniements du leader de Syriza est plus longue que le Danube. En un an, il a trahi ses engagements, organisé un référendum en espérant le (…)