Communiqué de presse de la CGT Freescale
Ce jeudi 19 novembre 2015, les Freescales licenciés ont rendez vous au tribunal pour demander justice.
Ce que nous attendons des juges ?
Une reconnaissance que nous avons été sacrifier sur l’autel de la stratégie d’entreprise de la multinationale « Freesquale » ; que nos licenciements ne sont absolument pas justifié économiquement.
D’ailleurs les évolutions récentes de l’entreprise nous confirment que nos licenciements ne sont pas justifiées (...)
Que faire face à la barbarie ?
Les attentats de vendredi dernier ont tué aveuglement 132 personnes, et fait 352 blessés. Nous sommes tous effondrés par l’horreur de ces actes qui avaient l’objectif clair de faire le plus de victimes possibles.
L’État islamique, une organisation barbare et profondément réactionnaire
Revendiqués par l’État islamique, ces attentats témoignent une fois encore des violences dont est capable cette organisation réactionnaire qui opprime depuis des années (...)
Source : site d’Anticapitalistas
Face aux attentats perpétrés à Paris le vendredi 13 novembre, Anticapitalistas condamne la barbarie et se solidarise avec ceux qui en souffrent. Notre message de soutien et d’empathie est destiné aux personnes affectée et notre indignation et colère face à ce qu’il s’est produit.
L’objectif du terrorisme n’est autre que de créer un état permanent de terreur, de haine et de défiance généralisés au sein de la population. Si la réponse passe par des (...)
Mercredi 25 novembre – 20h Salle Osète, 6 Rue du Lieutenant Colonel Pélissier
Plus d’infos sur la campagne de solidarité sur notre site.
Meeting animé par Animée par : Verveine Angeli porte-parole de l’Union Syndicale Solidaires, Loïc Cwiek inculpé, Imen Habib animatrice de BDS France et Vincent Rebérioux de la Ligue des Droits de l’Homme.
Quatre militantEs BDS (Boycott – Désinvestissement - Sanctions) Bernard, Jean-Pierre, Loïc et Yamann sont convoquéEs au tribunal correctionnel de (...)
Par Julien Salingue - Le 14 novembre 2015 Source : Le pire n’est jamais certain
Fragments.
Ce sont les nôtres qui sont morts la nuit dernière.
À la terrasse d’un restaurant, dans un bar, dans la rue, dans une salle de concert.
Les nôtres.
Morts parce que des assassins ont décidé de frapper en plein Paris et de tirer dans la foule, avec pour objectif de faire le plus de victimes possible.
11h30. Sarkozy vient de déclarer : « Nous sommes en guerre ».
Pour une fois je suis (...)